La soirée immersive bruxelloise, Old but gold, vous plonge au cœur des années 70, 80, 90 et 2000. Attachez votre ceinture, la machine à remonter dans le temps démarre.
C’est dans un décor épuré que commence cette soirée qui s’annonce festive. Le public est hétéroclite et après cette pandémie de coronavirus, on sent que l’ensemble du public est enthousiaste à l’idée de retrouver un semblant de ses soirées d’antan.
Sur les quatre pans de mur sont projetés images psychédéliques et chansons à gogo. A chaque décennie son cocktail, on parle de « vodka curaçao cotton candy » ou encore de « Pulp Fix Lemon Juice », la quantité équivaut à la qualité. Pour les non férus d’alcool, une version « soft » de chaque cocktail est prévue.
Arrivée à la décennie 90, au son du karaoké géant, on ne peut se retenir d’entonner en chœur le fameux Wonderwall d’Oasis. Au point, qu’on se laisse prendre au jeu et qu’on aurait aimé couvrir les décennies suivantes.
Contexte coronavirus oblige, l’animation ne se passe que sur les murs. Nul doute que sans ça, une piste de danse improvisé se serait créée et l’ambiance aurait pu décoller. Mais ne soyons pas trop exigeant, l’immersive Old but gold saura vous faire passer un bon moment et certainement oublier pendant quelques minutes que nos mois d’été se sont transformés en mois d’automne.
Gold, comme le soleil. On en a bien besoin. C’est bon pour le moral et ça fait du bien.
Plus d’infos, via la page : https://oldbutgoldcocktailexperience.com/bruxelles/fr/