Le 27 octobre dernier, Bethesda Softworks sortait l’un des titres les plus attendus par les gamers cette année, Wolfenstein II : The New Colossus. Au-delà des prouesses graphiques effectuées sur cet opus, cette sortie constitue surtout une sorte de graal pour celles et ceux qui avaient apprécié Wolfenstein : The New Order et son antépisode Wolfenstein : The Old Blood, tous deux marqués par l’utilisation du moteur de jeu id Tech 5, propriété exclusive de Bethesda depuis le rachat d’id Software.
Mais Wolfenstein, c’est aussi une marque qui a imprégné l’histoire du jeu vidéo et plus précisément, l’histoire du jeu de shoot à la première personne, le fameux FPS. Lancée en 1981 avec le jeu d’infiltration Castle Wolfenstein, la franchise explosa réellement en 1992 avec la sortie du célèbre Wolfenstein 3D, oeuvre originelle de tous les FPS actuels et ancêtre direct des célèbres Doom ou Quake.
Trois décennies plus tard, la saga s’est donc constituée une base solide de fans et une aura magistrale. C’est pour cette raison que le café gantois Comic Sans, spécialisé dans le thème des superhéros, a inauguré une fresque géante à l’effigie de B.J. Blazkowicz, l’éternel exterminateur de nazis. Un travail incroyable signé de la main de l’artiste belge Matthew Dawn à voir absolument.
Après cette visite, il ne vous restera plus qu’à vous tester à Wolfenstein II, jeu qui emmène le joueur dans une Amérique dominée par les nazis. À vous de recruter les chefs de file de la résistance les plus braves. Affrontez les nazis dans la bourgade de Roswell au Nouveau-Mexique, à la Nouvelle-Orléans isolée du monde extérieur et sur l’île de Manhattan post-nucléaire.